Les maladies parasitaires du dromadaire
Les dromadaires
constituent une composante importante du cheptel, dans de nombreux pays des
régions arides et semi-arides d'Afrique et d'Asie. Leur aire d'extension couvre
les régions désertiques, caractérisées par la sècheresse, les fortes amplitudes
thermiques et la rareté de l’eau. Dans ces régions, le dromadaire se nourrit de
la végétation naturelle des parcours constitués d'herbe et de plantes épineuses
(acacia, cactus...) ; il n’entre pas en concurrence avec les autres
ruminants - sauf parfois les caprins - qui ne consomment pas ces plantes.
L'élevage de
dromadaire est presque toujours associé à l'élevage caprin. Les effectifs
fluctuent ; leur augmentation, observée dans certains pays, est due à la
sédentarisation des populations, et à l’augmentation du coût des transports
motorisés. Cette situation a restitué aux dromadaires leurs fonction de transporteur.
Par ailleurs, la combinaison de ces deux facteurs a favorisé la constitution d'élevages
fixes semi-sédentaires autour des agglomérations et l’intensification des
productions de viande et de lait pour la consommation locale ainsi que l'apparition
d'un mouvement d'exportation du cheptel sur pied vers les pays consommateurs.
L’élevage des
dromadaires souffre de plusieurs pathologies parasitaires, infectieuses et
alimentaires qui n’ont pas toujours mobilisé l'intérêt des pathologistes si ce
n’est dans le cadre du rôle épidémiologique que les camélidés peuvent jouer
dans les infections des autres ruminants ou dans les zoonoses, et du fait que
ces infections revêtent souvent un caractère inapparent, asymptomatique. En
outre, peu d'entités morbides, susceptibles de compromettre le rôle économique
et socio-culturel des dromadaires, n'ont été identifiées jusqu'à présent, bien
que plusieurs pays disposent d’institutions, unités ou cellules de recherche ;
mais les thèmes sur lesquels ils
travaillent, sont des thèmes de zootechnie (méthodes d'élevage, nutrition,
reproduction, amélioration de la production et de l'utilisation du lait et de
la viande) justifiés par le contexte socioéconomique (démographie, sécheresse,
exode rural, autosuffisance alimentaire).
Cet intérêt pour
les potentialités zootechniques ne va pas sans une certaine préoccupation posée
par les problèmes pathologiques de l’espèce, en mesure d’intéresser les pathologistes.
C’est ainsi que les problèmes posés par le poly-parasitisme se répercutent sur
la productivité des dromadaires. Les parasitoses internes sont en effet nombreuses (plus
de 22 espèces de parasites ont été identifiées).
D’autres
helminthoses internes sont également de la partie ; il s’agit notamment du
téniasis, de l'hydatidose, de la distomatose et, de la dictyocaulose.
Les
protozooses sont également présentes telles les coccidioses, dont le pouvoir pathogène
est encore mal connu, la sarcosporidiose et la toxoplasmose.
Les
parasitoses externes sont représentées par la gâle sarcoptique et toute la
gamme des ectoparasites.
Les helminthoses gastro-intestinales, semblent avoir le plus bénéficié de l'attention des pathologistes car elles engendrent une forte morbidité, due à la grande diffusion des parasites et et à la simplicité des techniques d'analyse. Certains nématodes sont quasi exclusifs du dromadaire. L'infestation se fait par les larves, lorsque la ration est constituée d'herbe au lieu de feuilles d'arbres et d'arbustes. Les infestations massives et les associations de parasites sont fréquentes et s'accompagnent d'une forte morbidité.
La plupart des espèces de cestodes sont communes au dromadaire, aux petits ruminants et aux bovins. La transmission de ces cestodes se fait par ingestion d'acariens porteurs de cystircoides. Les cestodoses larvaires (hydatidose et cysticercoses) sont observées fréquemment aux abattoirs. Le taux d'infestation est élevé (30% environ). L'hydatidose est une zoonose.
L’aire
géographique des autres helminthoses est limitée, et leur incidence est faible.
Il convient de signaler toutefois que :
·
La schistosomose est signalée dans les régions où
l'humidité est favorable au développement des hôtes intermédiaires.
· La dictyocaulose dont le développement de la larve
infestante nécessite de l'eau, peut se manifester par des troubles
respiratoires.
· La filariose est un parasite des artères pulmonaires,
du mésentère et des vaisseaux lymphatiques. Les microfilaires sont présentes
dans le sang périphérique et peuvent provoquer des orchites.
· L'onchocercose est un parasite qui se localise
respectivement dans l'aorte, la région sous-cutanée de la nuque et le ligament
cervical.
·
Les cysticercoses sont très répandues.
· La distomatose due à Fasciola hepatica est rapportée dans
les régions où l'humidité est favorable au développement du mollusque
aquatique, hôte intermédiaire du parasite.
La trypanosomose
des camélidés est due à Trypanosoma evansi, un parasite qui est également
responsable de la trypanosomose équine, bovine et canine. C’est pourquoi il a
été l'objet d'un grand nombre de travaux portant sur le pouvoir pathogène des
souches, leurs propriétés biochimiques et antigéniques et, leur sensibilité aux
trypanocides. Chez les dromadaires, la trypanosomose a fait l'objet
d'observations cliniques, d'enquêtes épidémiologiques et d'essais
thérapeutiques. Cette parasitose est signalée là où l'élevage camelin existe,
mais son incidence varie considérablement d'une région à l'autre. Elle est
élevée dans les régions marécageuses et partout où les conditions de
développement des vecteurs sont favorables, là où la pluviométrie est
supérieure à 500mm. La transmission est assurée par diverses espèces de
glossines. L'infestation entraîne une maladie aiguë mortelle. C’est une maladie
à déclaration obligatoire. Des campagnes de chimio-prévention sont organisées
sont souvent organisées.
La coccidiose des camélidés à Eimeria cameli a été signalée ; le taux d'infestation est estimé à 29 %. L'infestation, souvent associée à d'autres parasitoses intestinales, s'accompagne de peu de symptômes et de lésions. Le rôle pathogène d'Eimeria cameli est mal connu.
La toxoplasmose a fait l'objet de plusieurs enquêtes sérologiques sur des animaux à l'abattoir, en. Le taux de séropositivité est généralement assez élevé (10%). L'infection naturelle est cliniquement inapparente.
La sarcosporidiose
: les lésions de la sarcosporidiose sont fréquemment rencontrées au niveau des
masses musculaires et du cœur.
La gale des
camélidés est très répandue ; elle est transmissible à l'homme. Son
incidence est plus élevée en été. La dénutrition et les carences, en vitamine A
notamment, sont des facteurs favorables à son développement. La transmission se
fait par contact direct et la maladie peut atteindre tout le troupeau. La forme
aiguë est de diagnostic aisfacile (lésions de prurit, de dépilation et
d'hyperkératose au niveau du cou, de l'ars, de la région inguinale, autour de
la queue et de l'orbite) ; les formes subaiguës et chroniques le sont beaucoup
moins. Il existe des formes latentes où le parasite est dans un état de nutrition
et de ponte réduites ; ces formes constituent des points de départ de nouveaux
foyers.
Les
infestations par les tiques sont assez fréquentes. Ces tiques peuvent véhiculer
des virus ou des rickettsies.
Les
myiases sont très répandues, telle l'infestation des plaies et du rhinopharynx
par les larves.
Les
mycoses semblent avoir un certain rôle pathogène chez les camélidés.
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