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Affichage des articles du novembre, 2020

Médecine vétérinaire en Tunisie : Radioscopie d'une profession méconnue.

Magazine READERS Médecine vétérinaire en Tunisie : Radioscopie d'une profession méconnue. N ews - 02.11.2013 Partagez  Ils sont plus de 1 500 médecins vétérinaires à exercer en Tunisie, assumant une double mission, celle de protéger le consommateur et de promouvoir l’élevage national. Une profession très ancienne dans le monde, mais récente en Tunisie, débutant avec les premiers pionniers formés en France et rentrés au pays après l’indépendance. Sous leur impulsion se constituera tout un dispositif de médecine vétérinaire, marqué notamment par la création d’un conseil de l’Ordre, d’une école nationale à Sidi Thabet et le développement rapide des différentes spécialités. N°88-Septembre 2018 Abonnez-vous C’est cette fabuleuse saga que raconte dans le détail et avec précision Dr Khaled Hicheri, l’un de ses principaux acteurs. Dans son ouvrage intitulé  La médecine vétérinaire en Tunisie, passé, présent et avenir,  il introduit le simple lecteur et initie le jeune candidat à
Productions fourragères : un problème toujours posé   L’automne qui s’annonçait précoce avec les pluies de la fin du mois d’août s’est révélé d’une sécheresse peu commune, augurant d’une année agricole peu prometteuse. Les réserves de fourrages s’épuisent et la spéculation prédomine sur le marché des foins et pailles en balles. Ce que les vétérinaires appellent « la soudure automnale » risque d’être longue et pénible pour les animaux comme pour les éleveurs qui n’ont plus de réserves ni de moyens pour complémenter la maigre ration de leurs troupeaux.   Nous savons tous que le préalable à toute augmentation et amélioration des productions animales réside dans une ration alimentaire équilibrées entre foins de bonne qualité et aliments concentrés ou aliments composés ; or très peu a été fait durant les décennies écoulées, en matière de production fourragère, aussi bien au niveau de la recherche qu’à celui de la vulgarisation, ou rien de sérieux et de continu n’a été entrepris. Les théorie

Dromadaire : milieu naturel et pâturage

Dromadaire : milieu naturel et pâturage Voilà déjà un an que s’était tenue à Tozeur, “la journée scientifique internationale” sur « la santé et les productions du dromadaire ». Cette manifestation avait enregistré un franc succès et une participation notable en considération de l’attrait qu’exerçait le sujet sur les chercheurs et sur les éleveurs. Parmi les recommandations qui ont clôturé cet évènement, une des plus importante était celle de faire de cette journée, une manifestation périodique annuelle, sous la forme de  "Rencontres internationales de santé et productions du dromadaire", en élargissant la participation à cette manifestation aux pays arabes et aux autres pays d’Afrique et d’Asie où les dromadaires font partie de leurs ressources animales et de leur patrimoine socio-culturel. Malheureusement cette recommandation n’a pas pu être concrétisée du fait de la pandémie de covid-19 qui fait rage dans notre pays et dans le monde. Il convient de rappeler que le droma

Covid-19 : Les tests antigéniques

Face à l’épidémie de COVID-19 qui poursuit sa progression depuis la rentrée et circule activement sur tout le territoire, il est crucial de permettre à tous ceux qui ont besoin de se faire tester, de le faire et d’obtenir leur résultat dans des délais raisonnables. Les tests antigéniques, différent des tests virologiques RT-PCR, en recherchant non pas le matériel génétique du virus, mais une protéine présente dans le virus. Ces tests se font sur prélèvement nasopharyngé, et le rendu des résultats ne dépasse pas les 30 minutes. La technique d’analyse utilisée est plus rapide et ne nécessite en général pas d’équipement spécifique. Ces tests sont performants chez les patients symptomatiques et pourraient réduire la pression sur les laboratoires d’analyse en réduisant les délais d’obtention des résultats. Les tests antigéniques sont néanmoins un peu moinssensibles, que les tests RT-PCR, qui demeurent les tests diagnostic deréférence. Les autorités sanitaires pourraient toutefois être favor

Tests de détection du SRAS-CoV-2.

  Tests de détection du SRAS-CoV-2.  En ces périodes difficiles de crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19, le respect des gestes barrières : lavage répété des mains, port du masque et distanciation sociale, demeure l’un des piliers majeurs de la lutte contre l’infection propagée par le nouveau Coronavirus SARS-CoV-2. Toutefois, chacun espère subir un test qui prouverait qu’il n’est pas infecté par ce virus et qu’il n’est pas malade du Covid-19 ou qu’il était malade mais qu’il n’est plus contagieux et qu’il est immunisé. Mais a ucun test n’est en mesure de satisfaire cet espoir ; par contre, on dispose aujourd’hui de deux sortes de tests de diagnostic de ce nouveau coronavirus : les tests virologiques et les tests sérologiques. Le diagnostic clinique est généralement établi à partir des signes cliniques qui peuvent se manifester par un seul ou plusieurs des signes suivants : une température supérieure à 37°5 ; une toux sèche, sans expectorations ; la perte de goût et/ou d’od

Covid : tests virologiques

  Covid : tests virologiques   La circulation du coronavirus en Tunisie se poursuit à un niveau élevé. Un fort pourcentage des tests Covid-19 déjà réalisés, sont positifs,   principalement chez les personnes présentant des  symptômes de l'infection . Les   laboratoires de biologie médicale agréés, réalisant les dépistages, sont  saturés . De véritables embouteillage sont visibles devant et dans les laboratoires d’analyses médicales alors que l e test ne doit être fait que si la personne à un doute sur sa contamination possible ou présente déjà les signes cliniques de la maladie. Afin de  décongestionner les laboratoires et de réduire les délais de transmission des résultats, des tests virologiques devraient être disponibles en nombre suffisant dans les laboratoires agréés .  Les tests virologiques ou tests PCR ( Polymerase Chain Reaction = réaction en chaîne par polymérase), ont pour but de détecter  la présence du virus  au moment où ils sont réalisés, c’est-à-dire que le